shagan le tempétueux

Oyé Oyé, écoutez mon histoire, l’histoire de ma vie, l’histoire de Shagan le tempétueux.

J’ai grandis dans l’immensité arides et glaciale des steppes. Le jour de mon passage a l’age d’homme une horde d’orcs vinrent détruire ce que j’avait de plus cher. Ma famille, mes amis, tous périrent ce jour la. Oh jour maudit entre tous ou blessé au visage j’acquérait cette balafre qui me barre un œil. Je fut le seul survivant, nul ne sait encore pourquoi ces villes brutes me gardèrent en vie . Je fut maltraité 6 mois durant avant de saisir une opportunité qui ma rendu l’espoir, l’espoir de venger mes pairs massacré cette nuit maudite.

Le shaman des orcs se mit en tete d’un nouvel assistant et il me prit moi, mais laissez moi vous décrire quels sont les attributions d’un assistants shaman. Cette vielle carcasse répugnante pleine de bubons pestilentiel me fit tester moult mixture, je fut tour a tour environé de flammes et de glaces. Mais il n’avait en aucun cas prévu le résultat final de ces deux ans d’expérimentation. Ma peau etait devenu plus dur que de la pierre et ma force etait telle que je pouvais rien qu’avec deux de mes dos briser un os. Je voyais dans le noir et etait insensible a la foudre.

Le jour de mes 21 ans cette immondes créature ne trouva rien de mieux que de me vendre comme gladiateur et il me fallu apprendre le maniement des armes. Puis a mesure de mes victoires le Chef de clans me remarque et trouva de bon aloi de me dépêcher comme interprète chez ses cibles potentielle. Je fis mal mon travail, prévenant les paysan de fuir et de préparer leur forteresse avant l’attaque. C’est pour cela que je fut mi a mort.

Seulement je m’évadais l’ors d’une attaque de représaille perpetrer par des elfes et put enfin atteindre mon but, recréer mon village. Tous mes efforts payérent, mon village florissait et j’avait une forteresse digne de ce nom.

Un jour, un homme vint a ma porte, il etait vétu de guenilles et sentait le chien mouiller, en bon chatelain je demandait a mes cuisinier talentueux de lui laisser quelques reste du diner au lieu de les donner au chien. Il me dit:

-"merci que les anges veillent sur toi bon chatelain"

Et il s'évanouit dans la nature. C'etait un songe prémonitoire, malheureusement ces imcompétents de sorciers ne purent rien en tirer et il me fallut rester dans mon ignorance.

Mon royaume prosperait, ma population avait dépasser les 5000 paysans et artisans quand mon chef de la garde vint me voir.

- Monseigneur, une horde orcs aproche il nous faut faire rentrer les paysans et les vivrent sans plus tarder sinon ils vont tous périr !

-Capitaine, veuilliez garder votre sang froids, le jour n'est pas venu pour eux de mourir et nous pourfendrons les orcs jusqu'au dernier, faites preparer la premiére compagnie de cavalerie, je veut que nous allions en reconnaissance.

- Bien monsieur, et s'adressant a son ecuyer, va dire a la premiére compagnie de se préparer et prévien les écuyer de notre seigneur de seller son cheval, et selle le mien par la meme occasion ! Si cela n'est pas fait quand nous descendrons tu sera mis au cachot pour huit jours !

-Capitaine faites rassembler les officiers et notre chef des mages en haut du donjon, nous devons préparer une stratégie au plus vite !

- Bien monseigneur, tout de suite monseigneur.

Et nous tinmes la réunion qui dura deux heures, pendant ce temps les orcs avait disparu, caché sans aucun doute dans la foret attendant une sortie de notre part pour nous crucifier de fléche. Entre ceux qui étaient pour la sortie et ceux qui étaient contre la dispute faisait rage.

- Assez, hurlai'je, ce n'est ni le moment ni le lieux de tenir ce genre de discours, jai décider, je prendrai les 120 hommes de la premiére compagnie de cavalerie, je veut tout les hommes a leurs postes sur les remparts, que touts les archer préparent leur arcs et leur fléchent, mettez l'huile a bouillir et que les trébuchet soit pret a détruire leur tour d'assault quand j'en donnerai l'ordre.

Ils obéirent tous, et en descendant les escalier je me demandait ce que pouvait ressentir ces hommes qui n'avait jamais, pour la pluspart, croisé le fer avec un orc.
Pensant a cela je fit mon discours afin d'encourager la premiére compagnie

- Chevalier, écuyers, nous allons en toute conaissance de cause nous jeter dans ce piége afin d'évaluer la puissance de l'armée ennemi qui est tapie dans les bois sombres et froids que nous voyons devant nous, vous ne battrez pas en retraite tant que la retraite ne sera pas sonnée, si vous battez en retraite avant vous risquez de mettre en péril la vie de vos camarades et la vie des habitants de la forterresse.
battons nous pour la gloire et pour la vengeance !

- pour la vengeance !

( a suivre ) ...



Ces immondes betes vertes, bien a l'abris dérriere des centaines de chénes vert n'attendait que cela, d'un beuglement commun elle sortire des bois et fonçant sur nous dans la plus grandes confusion elles nous encerclérent.
Leur maigres talent de brute épaisse a intelligence de rats ne purent immaginé que me tuer, moi, le chef de ces troupes; les aideraient a en finir plus vite. Elles n'y pensérent surement pas une seconde et protégé par Light Evil, ma fiére épée je fendis, pourfendis, tranchait, arrachait de toutes part ...
Cepandant en sous nombres nous ne pouvions résister bien longtemps et je dut faire apelle a tout mon charisme pour re galvaniser mes troupes.

- Mes enfants, fiers soldats qui combattez pour vos maisons et vos famille, il est temps de battre en retraite vers le castel et de s'y retrancher en attendant les renforts que mes mages sont en train d'invoquer a la hate, les puissants dragons ... Capitaine faites sonner la retraite que le chateau se prépare a ouvrir et refermer ses portes. Soldats, formations en fleche nous allons perçer cette marée humaine.

Et donc nous voila, recommençant a tuer et blesser ces monstres verdatre. Nous perdimes bien des braves ce jour la ... nous rentrames couvert de chair et de sang et nous nous lavames a meme le sol dans la cour du donjon qui fut alors coloré de rouge ... nous rendimes nos armes et armures aux armurier et nos chevaux aux palefreniers ... plus de la moitié de mes chevalier etaient tomber ce jour la afin de permettre au paysan de rentrer en sécuritée dans la forteresse.

Les jours suivant furent un calvaire, seulement deux ou trois tué de ci de la au hasard d'une fleche tirée des bois ou d'une meurtriére ... la psalmodie des mages était de plus en plus forte et nous ne pouvions plus dormir. Vint le moment ou les orcs entendire l'invocation et passérent a l'attaque, Beffroi, béliers, trébuchet ... toutes les technologie immaginable se sont drésser contre mes murailles pendant cette attaque ... et pourtant nous fumes vainqueur au début ! Puis la prémiere enceinte fut dépassée et nous perdimes un puits vital, il fallut rationner l'eau et poster nombres de garde qui aurait été plus utile sur les remparts.
Les Orcs attaquaient de plus en plus violemment et nous fument repousser dans la derniére enceinte de la forteresse, le donjon ! Mon donjon !.

Alors que les portes cedait sous leur coups de beliers, mes sorcier en haut du donjon laissérent éclater un cri de joie et produisirent chacun un dragon ...Le ciel en était remplis et ils pleuvait des corps d'Orcs partout aux alentours ...le combat dura encore trois jours le temps de nétoyer les piéces ou certains orcs était barricadé.

Grandes sont les cicatrice de cette attaque violente ou notre destin ne tenait plus qu'a un fil ... C'est dailleurs depuis cette période que jai pris l'habitude de me promener dans les bois, seul. Et un jour étant en train de méditer sur une pierre j'entendis des sabots dérriere moi et vis un fier et beau seigneur descendre de cheval.

bonjour noble seigneur, me dit'il. je rencontrait pour la prémiere fois celui qui serait mon empereur ...

(a suivre )

Magnifique récit seigneur Baron, et l'idée du journal est excellente, je me suis régalé à le lire. Félicitation pour votre combat, vous avez fait honneur à Aun'Der.

dommage que mon journal soit truffé de faute XD je vait essayer 1 de le continuer, 2 de corriger mes fautes, 3 de continuer le journal en consignant chaque jour les évenement importants